Quatrième
de couverture :
Barricadé
dans sa maison au cœur d une ville déserte, un vieil homme prend
des risques fous pour recueillir une petite fille blessée. L enfant
ne parle pas, elle ne prononce qu'un mot : Lumière, elle qui a si
peur du noir. Alors le vieillard parle, il lui raconte la beauté de
la vie d'avant, les petites joies du quotidien, son espoir qu on
vienne les délivrer. Il lui enseigne la possibilité d un avenir,
quand elle lui offre de savourer le présent. Cyril Massarotto
explore la relation filiale qui se noue entre ces deux êtres que
tout oppose.
Mon
avis :
L'auteur
ne nous donne aucune information, sur la nature du conflit qui règne,
ni sur l'endroit où l'histoire se déroule. Tout ce que l'on sait,
c'est qu'il y a les « autres » qui ont tout détruit,
tués la majorité de la population.
Mon
imagination me dit que cela aurait aussi bien pu se passer, en Europe
centrale, lors de la guerre des Balkans. (là ce n'est que mon
sentiment)
Un
jour, le vieux monsieur entrevoit un petit corps, meurtri, allongé
dans des détritus. Contre peur et mauvais souvenirs, il brave
l'extérieur pour la recueillir et s'en occuper.
Au fil des lignes, on découvre la naissance des sentiments de ces deux inconnus, qui s'occuperont, tout à tour, l'un de l'autre.
La relation est touchante, d'autant plus qu'à travers Lumière, notre Monsieur Papi revivra des drames de son passé, et il ouvrira son cœur meurtri.
Au fil des lignes, on découvre la naissance des sentiments de ces deux inconnus, qui s'occuperont, tout à tour, l'un de l'autre.
La relation est touchante, d'autant plus qu'à travers Lumière, notre Monsieur Papi revivra des drames de son passé, et il ouvrira son cœur meurtri.
La
petite fille, aussi porte bien son nom « Lumière », car
elle éclaire d'un nouveau jour la vie de ce vieux monsieur, qui a
tant souffert.
Livre
que j'ai bien aimé, mais sans plus, malgré la justesse de
l'écriture, des sentiments. Il manquait juste un petit quelque chose
pour l'emporter vraiment.
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