Quatrième de couverture :
Tombé sous le charme de Clémentine Laginska, la femme de son meilleur ami, le comte Thaddée Paz n'a pas d'autre solution que de s'inventer une maîtresse pour ne pas succomber à la tentation... Un drame amoureux dans lequel le mensonge et la séduction tiennent les premiers rôles.
Mon avis :
La fausse maîtresse est un court roman de la Comédie humaine et fait partie d'une série d'écrits courts où l'on retrouve le parfait style de Balzac avec ses minutieuses descriptions de l'ambiance, des personnages, et de la situation politique du moment.
Je n'ai jamais vraiment été attiré par les romans de Balzac, trop longs, trop fouillés au niveau justement des descriptions que je trouvais rébarbatives. Mais là, sur un court texte, j'y ai pris plaisir car l'intrigue est arrivée très vite et m'a de ce fait happée.
C'est une histoire d'amour concernant deux amis et la femme mariée de l'un deux, avec un contexte politique intéressant (relations France-Russie-Pologne des années 1830)
Je pense qu'un jour j'essaierai à nouveau de relire du Balzac rien que pour voir si la magie opère encore.
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